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Top 5 des meilleurs traceurs GPS pour moto en 2025

le 09 octobre 2025

Envie de sécuriser votre moto et de suivre vos balades sur route ou en off-road ? En 2025, les trackers GPS pour deux-roues ont fait un bond : meilleure précision (GNSS/GLONASS), alertes plus fines grâce aux capteurs (mouvement, choc, coupure d’alim), réseaux 4G/LTE-M / NB-IoT, et applis plus rapides et intuitives. 

Ce guide actualisé aide les motards et scootéristes à choisir sans perdre de temps : on compare 5 modèles efficaces (sans « grandes marques »), on détaille leurs avantages, limites, et on donne des astuces d’installation.

 

Comparatif express (2025)

Modèle Réseau Alimentation Points forts À savoir
🏆Fleetlize WireTrack (notre #1) 4G/LTE-M + GNSS/GLONASS Filaire 12 V + batterie interne App claire, alertes, immobilisation à distance, historique trajets, geofences, support FR Installation propre à prévoir
📡Teltonika FMC920 LTE-M/NB-IoT (fallback 2G selon version) Filaire 10–30 V Très compact, fiable, I/O, BLE pour capteurs avancés App via plate-forme partenaire
🔒Queclink GV57MG LTE-M/NB-IoT Filaire + supercap Robustesse, entrées/sorties, alerte sabotage Interface dépend de la plate-forme choisie
🏍️ATrack AK11 4G LTE Filaire + batterie IP67 étanche, accéléromètre 3-axes, idéal motos & camions Un peu plus cher
🌐Concox JL502 (4G) 4G (B1/B3/B8/B20 selon version) Filaire + relais Immobilisation à distance, geofencing, bonne disponibilité Nécessite réglages APN/SIM soignés

 

Pourquoi ces modèles ? Ce sont des références performantes mais discrètes, plébiscitées par les pros de la gestion de flotte (motos, scooters, voitures utilitaires). Elles ne sont pas « grand public » à outrance : pas de pub déguisée, juste de la technique solide.

 

Notre Top 5 détaillé

1) Traceur GPS Fleetlize WireTrack — le traceur GPS taillé pour les motards exigeants

Pour qui ? Motards routiers et urbains qui veulent un geotraceur précis, des alertes personnalisées, des stats optimisées et une appli soignée (FR).


Ce que l’on aime

  • Suivi temps réel gps + glonass (multi-GNSS) : position plus stable en ville, sous tunnel/canopée.

  • Alertes trackées et configurables : mouvement, débranchement, dépassement vitesse, choc (capteur), sortie de zone.

  • Historique & export GPX (pratique pour partager ses aventures ou analyser les parcours).

  • App numérique claire : cartes, filtres par trajets parcourus, état véhicule, notifications rapides.

  • Support francophone réactif, mises à jour actualisées.

À considérer

  • Installation filaire (12 V) à prévoir ; mieux vaut la faire proprement (faisceau protégé, dissimulation).

  • Abonnement data SIM selon l’usage (voir conseils plus bas).

Idéal pour : road-trips, balades du week-end, protection anti-vol en ville, suivi routières ou deuxroues partagés.

 

2) Teltonika FMC920 — compact, fiable, prêt pour les capteurs avancés

Pour qui ? Ceux qui veulent un boîtier mini mais pro, tolérant aux variations de cylindrées et aux installations serrées.

 Plus

  • LTE-M / NB-IoT (selon opérateur) : excellente tenue en zones difficiles, faible consommation.

  • Accéléromètre intégré pour l’alerte choc/chute, geofencing, envoie de rapports riche.

  • BLE : possibilité d’ajouter balises/capteurs (température, ID pilote, pression pneus BLE, etc.).

  • Entrées/sorties : contact, coupure d’alim, relais.

Moins

  • Il faut une plate-forme/app partenaire (plusieurs existent) ; prévoir un peu de paramétrage.

 

3) Queclink GV57MG — robustesse et I/O pour scénarios avancés

Pour qui ? Motard qui veut un geotraceur robuste et des scénarios électronique avancée (alarme, relais, sirène).

 Plus

  • Plate-forme matérielle réputée en flotte (motos, voitures, utilitaires).

  • Supercondensateur/batterie interne : envoie l’alerte si on coupe la batterie moto.

  • Entrées multiples : contact, capteurs de selle/top-case, etc.

Moins

  • L’interface/app dépend du service choisi (qualité variable).

 

4) ATrack AK11 — IP67, parfait pluie/boue et longues aventures

Pour qui ? Randonneur en trail/adv, motarde qui roule toute l’année, flotte de motos/scooters exposées aux intempéries.


Plus

  • IP67 : étanche/poussière, vibrations acceptées.

  • 4G LTE + GNSS, accéléromètre 3-axes pour détection chute/choc.

  • Large plage de tension : motos, vélo à assistance (avec convertisseur), camions.

Moins

  • Tarif au-dessus de la moyenne.

 

5) Concox JL502 (4G) — l’efficace « utilitaire » avec immobilisation

Pour qui ? Utilisateurs qui veulent l’avantage d’un relais immobilisation et un coût modéré.


Plus

  • 4G avec bandes adaptées à l’Europe (vérifier présence de B20 800 MHz).

  • Immobilisation moteur (à ne jamais activer en roulant).

  • Alertes mouvement, débranchement, dépassement vitesse, geofences, suivi gpx via plateformes compatibles.

Moins

  • Nécessite un APN/SIM bien configuré ; documentation parfois succincte selon le vendeur.

 

Comment choisir un traceur GPS moto en 2025 ?

Les critères essentiels

  • Réseau & pérennité : privilégiez 4G LTE-M / NB-IoT (couverture et autonomie). Évitez le 2G-only là où il disparaît.

  • GNSS multi-constellation : GPS + GLONASS (voire Galileo) = meilleure précision en ville.

  • Alimentation :

    • Filaire 12 V : continu, discret, idéal pour l’anti-vol.

    • Batterie autonome : simple, mais pensez à la recharge.

  • Capteurs & alertes : mouvement, choc, coupure d’alim, l’alerte de vitesse, geofencing.

  • Appli & export : interface claire, GPX pour partager les balades/aventures.

  • Étanchéité/IP : si vous roulez sous la pluie/terre (trail), visez IP67.

  • Abonnement : eSIM/SIM ? Data locale/UE ? Certains trackers incluent un service, d’autres non.

  • Discrétion : taille, antennes internes, position de pose.

  • Fonctions avancées : BLE pour capteurs pneus, immobilisation par relais (avec consignes strictes).

Et Sigfox/LoRa ? Ces réseaux bas débit sont très autonomes mais moins réactifs et moins précis en suivi temps réel. Intéressants pour une balise anti-vol pure, moins pour la navigation.

Installation : nos astuces pro

Choisir l’emplacement (discret & protégé)

  • Hors des zones « évidentes », loin de la batterie principale, derrière un carénage fixe.

  • Évitez la proximité directe des faisceaux d’allumage (parasites).

Raccordement optimisé (filaire)

  • +12 V après contact et +12 V permanent si le traceur le permet (double alim = logs même moteur coupé).

  • Masse propre (ponctuelle), fusible dédié, gaine thermo, colliers.

  • Si immobilisation via relais : jamais sur autoroute/vitesse. Réservé à l’arrêt (parking). C’est l’étape la plus sensible.

Paramétrage & tests

  • Mettez à jour le firmware si dispo, configurez APN/SIM, fuseaux, fréquence d’envoie/rapports.

  • Testez toutes les alertes : mouvement, géofence, choc, batterie faible.

  • Faites un ride test (ville + route) et vérifiez l’itinéraire gpx.

 

 

Les avantages & limites d’un tracker moto

Avantages

  • Anti-vol : localisation rapide, l’alerte en temps réel, aide pour police/assurance.

  • Journal de trajets : parfait pour deuxroues partagés, pro ou loisirs.

  • Coaching de conduite : vitesse, freinages/chocs (accéléromètre).

  • Multi-véhicules : fonctionne aussi pour voitures, utilitaires, camions, vélo cargo.

Limites

  • Abonnement data/plate-forme (selon modèle).

  • Installation électrique à soigner.

  • Un traceur visible ou mal posé se neutralise vite.

Le bon choix pour rouler serein

En 2025, le meilleur traceur GPS moto combine 4G (LTE-M/NB-IoT), des capteurs fiables (mouvement, choc, coupure d’alim), une app claire avec export de l’historique des trajets, et une installation discrète.

Pour la majorité des motards et scootéristes, l’équilibre fonctionnalités/simplicité/SAV fait que le traceur GPS WireTrack de Fleetlize est notre recommandation centrale..

 

FAQ - Traceur GPS moto installation fonctionnement

Quel est le meilleur traceur GPS pour moto en 2025 ?

Pour un usage complet (anti-vol + suivi balades + app claire), notre choix est Fleetlize WireTrack.

Quelles fonctions sont indispensables sur un tracker moto ?

Réseau 4G (LTE-M/NB-IoT), GPS/GLONASS, alertes mouvement/choc/coupure, geofences, historique des trajets, app simple, bonne autonomie/étanchéité.

Comment installer un traceur sur une moto ?

Filaire : +12 V (après contact + éventuellement permanent), masse, fusible. Cachez le boîtier dans un endroit sec/rigide. Testez les alertes et l'itinéraire. Autonome : choisir un emplacement discret, penser à la recharge.

Quel budget prévoir (appareil + service) ?

Comptez 60–180 € pour un modèle raisonnable, 200–300 € pour un pro robuste. Data/plate-forme : de 2–15 € / mois, plus si service premium.

Faut-il un abonnement ?

Souvent oui (SIM/data et/ou plate-forme). Certains vendent un pack « appareil + service ». Vérifiez la couverture opérateur si elle est mondiale ou non.

Est-ce légal en France ?

Oui sur votre propre véhicule. Interdit de pister quelqu'un sans consentement.

Et pour un scooter, une 125 ou une grosse cylindrée ?

Aucun souci : les modèles listés gèrent 10–30 V. Sur petites cylindrées ou scootériste urbain, privilégiez un modèle compact, optimisé pour faible conso.

Précision & délai ?

Avec GNSS multi-constellation (glonass inclus) et réseau 4G, la carte se met à jour quasi en temps réel (envoi actualisé selon la fréquence réglée).

Puis-je exporter mes routes en GPX ?

Oui sur Fleetlize et sur la plupart des plates-formes pros : pratique pour partager vos aventures et analyser vos parcours.

Résiste-t-il à la pluie ?

Choisissez IP67 pour l'usage intensif pluie/boue. Sinon, placez le boîtier à l'abri derrière un carénage.

Où acheter un traceur fiable ?

Chez des revendeurs spécialisés motos/flotte ou directement via les éditeurs de plateformes. Vérifiez SAV, garantie, dispo des nouveaux firmwares.

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